















 |
An
American In Paris 
Un Américain à Paris
1951 - 113 minutes - Couleurs

Pour les photos du film, cliquez ici
Distributeur:
|
Metro
Goldwyn Mayer |
Producteur:
|
Arthur
Freed |
Réalisateur: |
Vincente
Minnelli |
Scénariste: |
Alan
Jay Lerner |
Directeur
Musical: |
John
Green
Saul Chaplin |
Chorégraphe: |
Gene
Kelly |
Distribution: |
Gene
Kelly
Leslie Caron
Oscar Levant
Georges Guétary...
Nina Foch
Eugène Borden
Martha Bamattre
Mary Jones
Ann Codee
George Davis
Hayden Rorke
Paul Maxey
Dick Wessel |
Jerry
Mulligan
Lise Bouvier
Adam Cook
Henri Baurel
Milo Roberts
Georges Mattieu
Mathilde Mattieu
La vieille danseuse
Thérèse
François
Tommy Baldwin
John McDowd
Ben Macrow |
Synopsis 
A
Paris, Jerry Mulligan, un peintre américain vivant
difficilement de son art, s'éprend de Lise, la fiancée
de son ami Henri Baurel, un chanteur. Egalement amoureuse
de Jerry, Lise décide de rester malgré tout avec Henri.
Mais elle doit prendre une décision le jour où Henri
lui propose de partir avec lui pour les Etats-Unis...
Chansons
interprétées par Gene Kelly 
By Strauss
I Got Rythm
S'Wonderful
Tralala
Our Love Is
Here To Stay
En Savoir
Plus 
Le fameux ballet de 17 minutes est la synthèse
parfaite des talents de danseur-chorégraphe de Gene
Kelly, étonnant patchwork de son style : ballet
classique et moderne, danse à claquettes et
expressionnisme purement esthétique. Kelly fait
référence à son style comme « synthèse de
figures anciennes et de rythmes nouveaux » .
Il écrivit un article dans Dance Magazine sur
les problèmes soulevés par lélaboration de cette
séquence :
« Nous avons essayé de dégager le style de
chaque artiste et cherché un style correspondant dans
des fragments de la partition de Gershwin. Par exemple ce
passage exécuté par les cuivres ne pouvait évoquer
autre chose que le « Chocolat » de Lautrec,
nous fûmes tous daccord pour trouver que le « walking
theme » dadaptait très bien au style
esquissé de Dufy. Notre préoccupation était de trouver
une équivalence musicale au style authentiquement
primitif dun Rousseau, style qui ne
sharmonisait que dautant moins à une
certaine sophistication de la partition ! Mais
nous navons pas voulu adopter un faux semblant :
nous avons conçu la danse à claquettes comme hommage à
la fête d lIndépendance américaine, à la façon
George Cohan, en jouant contre le thème musical, tandis
que la fête parisienne déroul ses fastes tout
autour
»

|